Mucem, une veille médias au service de la mise en valeur culturelle

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Le dernier Livre Blanc de Cision décrypte les usages de la veille médias. Retrouvez le témoignage de 6 Dircoms. Aujourd’hui celui de Julie Basquin, Responsable du département communication du musée Mucem.

#ParoledeDircom

Dans cette étude, vous retrouvez le témoignage de 6 Directeurs de la Communication qui ont pris le sujet de l’information à bras le corps. Ils partagent leur vision du métier, leurs pratiques au quotidien, leurs objectifs, défis et envies pour le futur.

Aujourd’hui Culture RP, vous invite à découvrir le dernier témoignage des directeurs de la communication. Retrouvez les points les plus importants d’une veille pour Julie Basquin, Responsable du département communication du musée Mucem.

Une veille précise et multimédias

« Notre besoin était au départ de recevoir une veille sur le mot-clé Mucem, explique la responsable communication. La difficulté était d’exclure tous les contenus citant notre musée sans être significatifs ». Aujourd’hui, la veille porte sur les titres des expositions et le président du musée.

Les communicants ont évidemment intégré les nouveaux canaux de communication. Par exemple la première source veillée (56%) est le Web hors presse payante. Suivi par les conversations des réseaux sociaux avec 46% des communicants qui les suivent. « Cision nous adresse aussi une veille des retombées issues des réseaux sociaux, poursuit Julie Basquin ». Le tout est archivé sur la plateforme de veille très utile pour faire des recherches. Que se soit par thème, période, type de média, nom de journaliste.

Un double objectif : éclairer et valoriser

Le Mucem reçoit un best-of hebdomadaire des retombées. Julie Basquin le diffuse à l’ensemble du comité de direction. « Cette revue de presse comprend les dix contenus les plus significatifs de la semaine. Cela nous permet d’éclairer nos collaborateurs sur la façon dont le Mucem est médiatisé, ce qui est dit et la façon dont s’est dit. » 

On constate dans l’étude que plus d’un quart des communicants interrogés (26%), se servent de leur veille pour communiquer en interne et alimenter leur entreprise d’informations fraîches et fiables. Mais c’est aussi un moyen de mettre en avant le travail réalisé par l’équipe communication. « Cela valorise le travail de tous, et celui de l’équipe communication en particulier, confirme Julie Basquin ».

Futur objectif : élargir sa veille à la région

La responsable communication reçoit un bilan annuel à deux volets. « Un volet quantitatif intègre des synthèses chiffrées, tirées de 2 000 retombées médias … Le volet qualitatif porte pour sa part sur 500 retombées, dont l’analyse fait ressortir les grandes tendances … ». Cet outil permet au Mucem de mieux cerner ses besoins et donc, d’en tirer une analyse média précise pour toujours mieux adapter sa stratégie communicationnelle.

Désormais, la responsable communication réfléchit à la mise en place d’une veille sectorielle. Elle souhaite suivre les grands événements d’autres musées ou lieux touristiques de la région. « Savoir comment ces lieux de culture sont médiatisés, par rapport au Mucem, nous permettrait sans doute d’affiner encore notre stratégie, admet Julie Basquin. Cela dit, notre relation avec Cision a déjà trouvé un très bon équilibre ».

Pour aller plus loin

Le communicant prend-il le lead de l’information dans sa structure ? De la veille médias à la veille stratégique, quels sont les sujets dans son périmètre ? Quels sont les objectifs de sa veille ? A qui est-elle destinée et comment est-elle utilisée ? Les budgets vont-ils être revus à la hausse pour 2022 ?

Autant d’éléments de réponses dans ce livre blanc : cliquez ici.

Carine Zanchetta

Carine Zanchetta

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